Mon nom est Yuki. Je suis japonais et je vis actuellement a Kyoto.
J'ai eu une enfance tout ce qu'il y a de plus banale, une bonne éducation, des parents honnêtes et aimants. Il n'y avait dans ma vie aucun nuage, rien qui puisse venir troubler mon avenir. J'étais un élève intelligent et plutôt doué. J'aimais lire, apprendre de nouvelles choses. Mais je dois l'avouer je n'appréciais que peu le contact avec mes pairs.
Alors je me suis mis à les étudier. Je les observais, je les écoutais et j'apprenais de plus en plus sur le comportement humain. Toutes ces choses que l'on fait sans s'en rendre compte, ces petits gestes inconscients. Tous ces artifices révèlent un peu qui nous sommes. Une mèche de cheveux placée derrière l'oreille montre une coquetterie discrète. La différence entre un sourire forcé et un sourire franc au coin des yeux. Le tic-tac du stylo bille dans une main anxieuse...
J'ai donc décidé, une fois arrivé à l'université, de m’orienter vers la psychologie. Et puis quelque chose d'étonnant, de déconcertant m'est arrivé. Sans doute la meilleure et la pire chose. L'Éclat!
Cette chose qui est venue envahir mon esprit. Cette chose qui ne pensait qu'à la souffrance. Cette chose qui m'a torturé, qui a pris également le contrôle de mon corps.
Il se fait appeler Givre, Givre de Minuit pour être exact.
Je pensais avoir fait le tour des comportements humains, décrypté les peurs, les faiblesses, les failles de l'esprit. Je pensais avoir apprivoisé la folie. Mais cette chose me dépassait.
C'est lui qui m'a apprivoisé, ou peut-être devrais-je dire dressé. Accoutumé à la souffrance pour finalement la faire mienne. Sous toutes ses formes, aussi bien physiques que psychologiques.
Et c'est ce qui m'a amené à rencontrer le premier être qui comme moi portait un Éclat.
J'ai eu une enfance tout ce qu'il y a de plus banale, une bonne éducation, des parents honnêtes et aimants. Il n'y avait dans ma vie aucun nuage, rien qui puisse venir troubler mon avenir. J'étais un élève intelligent et plutôt doué. J'aimais lire, apprendre de nouvelles choses. Mais je dois l'avouer je n'appréciais que peu le contact avec mes pairs.
Alors je me suis mis à les étudier. Je les observais, je les écoutais et j'apprenais de plus en plus sur le comportement humain. Toutes ces choses que l'on fait sans s'en rendre compte, ces petits gestes inconscients. Tous ces artifices révèlent un peu qui nous sommes. Une mèche de cheveux placée derrière l'oreille montre une coquetterie discrète. La différence entre un sourire forcé et un sourire franc au coin des yeux. Le tic-tac du stylo bille dans une main anxieuse...
J'ai donc décidé, une fois arrivé à l'université, de m’orienter vers la psychologie. Et puis quelque chose d'étonnant, de déconcertant m'est arrivé. Sans doute la meilleure et la pire chose. L'Éclat!
Cette chose qui est venue envahir mon esprit. Cette chose qui ne pensait qu'à la souffrance. Cette chose qui m'a torturé, qui a pris également le contrôle de mon corps.
Il se fait appeler Givre, Givre de Minuit pour être exact.
Je pensais avoir fait le tour des comportements humains, décrypté les peurs, les faiblesses, les failles de l'esprit. Je pensais avoir apprivoisé la folie. Mais cette chose me dépassait.
C'est lui qui m'a apprivoisé, ou peut-être devrais-je dire dressé. Accoutumé à la souffrance pour finalement la faire mienne. Sous toutes ses formes, aussi bien physiques que psychologiques.
Et c'est ce qui m'a amené à rencontrer le premier être qui comme moi portait un Éclat.